Ma galerie ( Un peu de tout...)

Seule à attendre
Que la mort vienne me prendre
J'étais désespéré
J'étais rejeté
Seule dans mon coin
Je voulais partir loin
Pour ne plus revenir
Ici, ou je ne fait que souffire
Au fond de mes soupires
Je voulais mourrir
Mais tout d'un coup tu es arrivé
Et de ta présence tu m'as aidé
Tu m'a offet ton amitié
Alors j'étais comblé
Sans toi je ne serai plus ici
Je n'ai qu'un mot à te dire, merci

Si tu savais comme tu me brule
Si tu savais comme j'accumule
Le bonheur
Et la douleur
D'être loin de toi
Si tu serai la
Trop, je t'aimerai follement
Mais si tu es absent
Je suis désespéré
Et j'attend ton arrivé
Près de toi,je perd mes moyens
Loin de toi, tu cause mon chagrin
Quand je te vois, tu me consume
Quand je t'entend, je suis remplis d'exaltitude
Arrête de faire bruler mon coeur
J'en ai besoin mais j'ai peur
Que tu l'arrache et le garde loin de moi
Je serai morte pour toi

Quand je te vois
Tout près de moi
Je rêve d'être dans tes bras
J'ai envie de toi
Jamais tu ne saura
Se que je ressens pour toi
Je rêve de toi
Tu es toujours dans mes rêves
Tu es la sans trêve
Et comme la plus jolie fleur
Tu as une place dans mon coeur
Quelques mots me vien à l'esprit
Et c'est je t'aime pour la vie
Je ne sais plus quoi penser
Quand je te vois arriver
Jamais je n'ai ressenti ça
Je rêve de toi
Tu es toujours dans mes rêves
Tu es la sans trêve
Et toujours tu me hantes
Vraiment sa n'a pas de sens
Tu es toujours dans mes rêves
Tu es la sans trêve
Je garde espoir
Qu'un jour tu vienne me voir

À chaque fois que j'y songe, le mal me ronge.
Mon souffle est couper, je ne peux plus respirer.
Je ferme les yeux, je ne voix rien d'heureux.
Les ténèbres et le noir, m'empêche de rêver et de voir.
Un si grand vide est en moi, que j'en suis pris d'effroit.
Elle est si forte, cette douleur qui m'emporte.
Je n'arrive même plus à rêver, tellement je suis troublée.
Mes entrailles sont si noué, que je n'arrive plus à manger.
J'ai tant ressenti de douleur psychologique, mais tout autant physique.
Cette douleur que je me suis infligé, pour toujours sur ma peau est marquer.
J'ai fait couler tant de mon sang, que s'en est effrayant.
Je me sens sale, manipulé, à cause des gens de la société.
Je me sens chassé, trahis, par ma propre vie.
J'aimerai tant que mon coeur soit sourd, ou qu'il arrête de jouer des tambours.
Je veux qu'il arrête de battre, et que mon coeur parte.
Dans le fond sans même un soupire, je veux mourir.
Je n'ai pas la force de me tuer moi même, car je pense à la personne que j'aime.
Elle me redonne espoir, même dans mes jours les plus noirs.
Malgrés toute ma souffrance, elle me guérit de sa présence.
J'oubli tout quand elle est là, mais j'ai mal quand elle s'en va.
Quand je souffre, elle chasse ma douleur d'un seule souffle.
N'empêche que mon desir de m'éteindre, reste la sans craindre.
Comme je ne peux mourir je continurai a me faire mal, même si ce n'est pas normal.
Tant de fois j'ai soupiré, tant de fois j'ai pleuré.
Un seul geste,un seul mot, crée dans ma tête le chao.
Si mes larmes étaient des diaments, j'aurai rempli une mine depuis longtemps.
Tant de tristesse, que je cris la détresse.
Laisse moi partir,sans revenir.
Laisse moi souffrir, ou laisse moi mourrir.

Ancienne ange
Devenue étrange
Ange de lumière
Devenue poussière
Ange plein de joie
Detruit par les lois
Ange merveilleuse
Devenue lacheuse
Ange des dieux
Devenue si peu
Ange au chant d'alouette
Devenue muette
Ange servante
Devenue agaçante
Ange docile
Devenue fébrille
Ange enjouée
Devenue déprimée
Ange sublîme
Devenue livide
Ange d'espoir
Devenue noire

Elle avait l'air d'une jeune file comblée, elle n'avai pas l'air si troublée.
Sur ses lèvres un sourrire, dasn sa bouche un soupire.
Petite chose fragile, qui mène un combat agile.
Il est difficile de mener, sa vie comme on l'aurai souhaité.
Bien souvent elle est cacher, la vérité c'est la clé.
Malheureusement elle ne la pas dit, sa a gacher toute sa vie.
Maintenant elle n'a plus peur, elle n'a plus de douleur.
Elle ne pense plus a son avenir, juste ses souvenirs.
Elle n'a plus soif ni faim, elle ne veut plus rien.
Elle n'est plus pareille, une chose étange qu'est le sommeil.
Elle aura l'éternité pour dormir, car elle vient de mourrir.

Il était un fois
Non loin de là
Une jeune princesse
Belle comme une déesse
Était désepérée
Car l'amour l'avait abandonnée
Son coeur c'était glacé
Elle ne pouvait plus aimer
Elle avait rencontré le prince
Qui pour elle, en pince
Mais comme le coeur de la princesse
Était insensible au prouesse
Que le prince lui avait consacré
Incapable de le suporté
Elle se coupa les veines elle même
Et ce n'ai qu'après qu'elle pu dire je t'aime

Quand on ne sait plus où aller
Quand on ne sait plus qui on est
Quand on ne sait plus où est sa place
Quand on ne sait plus si son coeur est de glace
Quand on ne sait plus ce que c'est être combler
Quand on ne sait plus ce que c'est d'aimer
Quand on ne sait plus qui sont ses vrais amis
Quand on ne sait plus quel est le but de sa vie
Quand on ne sait plus sortir du brouillard
Quand on ne sait plus rêver, sauf des cauchemars
Quand on ne sait plus reconnaître le bonheur
Quand on ne sait plus différencer la joie de la douleur
Quand on ne sait plus que son coeur est fébrile
Quand on ne sait plus que son âme est insensible...

C'est que vous êtes devenu comme moi...

Quand tu as besoin de moi
Je ne suis pas là
Quand tu ne me veux pas
Je surgit près de toi
Je t'offre malheur et souffrance
Je noirci ta conciance
J'apporte la douleur
Et j'éloigne le bonheur
Je donne l'angoisse et la peur
Je sème le chao dans ton coeur
Je vis la nuit
Le jour, je fuis
J'ai besoin de toi pour vivre
Car de ton sang, je m'enivre
Je ne suis pas un monstre mais je vole des vies
As-tu enfin trouvé qui je suis?

Telle un oiseau volant
Vers le soleil couchant
La liberté m'envaït
Elle m'éblouït
Le souffle du gèle
Percécute doucement mes ailes
La douceur de ce jour
Me rapelle que l'automne vit toujours
Un limpide bain de lumière
Réalise ma prière
Le temps frisquet me glace jusqu'au os
Lorsque je travers les grandes eaux
C'est l'amour qui me pousse loin de chez moi
C'est l'amour qui m'attire vers toi
Je laisse se sauver mes soupires
Pour laisser place au rires
Je suis quelqu'un d'étrange
Pas un oiseau mais un ange

Une vie oubliée
Un passé éloigné
Un destin changé
Un chemin égaré
Pourrai-je avoir un vie
Normal et sans soucis
Arrêtée d'être troublée
Différente et perturbée
Mais je ne veux pas être comme les autres gens
Car pour moi, la plus part sont ignorant
Insensible et incapable de voir
Les choses importantes alors je perd espoir
Rien est pire qu'être différent
Car on vous rejete lorsque vous êtes présent
Laissez moi partir
Sans revenir
Sinon je vais souffrire
Donc laissez moi mourrir

Je n'arrive plus à me concentrer
Mon esprit est trop bondé
Se poème est dure a écrire
Car l'inspiration ne se fait pas sentir
Sans cèse je suis dans la lune
Comme si je serai dans la brume
Plus rien ne m'interesse
Je ne vois que mes faiblesses
La musique que j'aimais tant
C'est envoler dans le vent
Les livres que je lisais tant
Sont devenus insinifiant
Mes amis que j'adorais follement
De mon esprit, son devenus absent
Je ne fait que penser
Ce n'est pas la meilleure chose qui pouvait m'arrivé
Voila, je n'ai plus d'inspiration
J'ai perdu mes notions
Ce poème se termine maintenant
Sans oublier en rimant.

Quand la mort t'as choisi
C'est la fin de ta vie
Tu ne peux contester
Tu n'y peux rien, elle a décidé
Elle te prendra sous son aile
Et t'emportera avec elle
Vous irez devant un lac limpide
Et dans se liquide fluide,
Cette marre glacée,
Elle t'y poussera et tu sera du passé
Dans tout se froid
Peu à peu tu coulera
On pense qu'il n' y a rien de pire que la mort
Mais franchement on a tord
Il faut croire ce que je dit
Cette histoire de folie
Je l'ai vécu
De l'eau de la mort j'ai survécu.

Dans la vie ou la mort
Le mensonge a toujours tord
Dans le futur ou le passé
La cruelle vérité va attaquer
Dans l'absence ou la présence
Le temps est voué à la souffrance
Dans la connaissance ou l'ignorance
La mort nous livre sa puissance
Dans l'emprisonement ou la liberté
Il n'y a personne pour aimer
Dans le bien ou le mal
Le choix est radical
Dans le jour ou la nuit
Peu importe, il y a la pluie
Dans la mort ou dans la vie
Le choix est simple, ma vie est fini.

Seule dans le noir
Je perdais espoir
Je me sentais mal et rejeté
Je me sentais sale et manipulée
Ma confiance, je te l'avais donné
Et avec douleur, tu m'as remercié
Je te croyais mon ami
Tu étais le sauveur de ma vie
Mais très vite tu m'as ramener dans la réalité
En me disant ce qu'a tes yeux j'ai toujours été
Pour toi je n'étais qu'un jouet
Et bien sur sans regret
Tu m'as condamnée
De mon amitier, tu as abusée
Tu m'as montré que la douleur
Était plus forte que le coeur
Pendant si longtemps j'ai reçu tes coups
Et je ne disait rien du tout
Mais quand je me suis relever
Tu t'es indigné et tu t'es vangé...

J'en ai assez de toute cette souffrance
Il faut que je brise le silence
Petit à petit, sa me ronge au fond de moi
Si sa continue, la mort m'emportera
Il faut qu'elle s'arrête, cette brûlure
Ma seule solution, les coupures
À chaque fois que j'ai regardé
Mes bras ensanglantés
Une seule chose me venait à l'esprit
C'est que j'ai mérité cette vie
Ne sachant pas réellement qui je suis
La meilleure solution, je fuis
Pour fuire cette douleur qui me hante
Je m'en inflige une differente
Peu importe ce que vous direz
Ce n'est pas ce qui me fera arrêté
C'est peut-être lache de ma part
Mais quand je me retrouve seule le soir
Je ne fais que penser
Alors je souffre de mon coeur mutilé
La meilleure chose que vous pouvez faire pour m'aider
C'est de ne pas s'en mèler.

J'ai vu dans tes yeux
Ton destin malheureux
J'ai vu sur tes lèvres
La plus grande des fièvres
J'ai vu dans ton soupire
L'absence des rires
J'ai vu dans ton cou
Les marques des voyous
J'ai vu sur tes seins
Le dur passé des tiens
J'ai vu sur ton ventre
Le secret de ton antre
J'ai vu sur ton bassin
L'envie de partir loin
J'ai vu sur tes jambes
Que chaques jours, tu trembles
J'ai vu sur tes chevilles
Trop de poids pour une jeune fille
J'ai vu sur tes pieds
Le besoin de t'en aller
J'ai vu sur ton corp
Le desire de la mort

Rien que de te voir
Près de moi
C'est plus précieux que de l'ivoire
Sa me met dans tout mes états
J'ai eut un grand frisson
Car tu me fais peur
Je vis une grande passion
Depuis que tu as touché mon coeur
La crainte du rejet persiste
C'est effrayant
Mais mon amour pour toi resiste
Car je t'aime follement
Tu hantes mes pensés
Tu combles mes silences
Tu me fais rêver
Comme ça n'a pas de sens
Quelques mots me viennent à l'esprit
Quand je pense à toi
Et c'est "Je t'aime pour la vie
Je t'en pris soit mon roi."

J'étais seule dans le noir à attendre
À attendre de finir en cendres
Mais tu es arrivé
Et ta lumière m'a éclairé
Une grande chaleur c'est dégagé en moi
Car je savais que tu étais là
J'étais bien, j'étais comblée
Car tu étais à proximité
Alors j'ai tendu la main
Vers toi et ton air serin
Je t'ai touché l'avant bras
J'ai tout de suite su qu'il ne le fallait pas
Tu m'as lancé un regard noir
Puis tu m'as abandonné dans cet éternel soir
Alors, je me suis retrouvée dans la solitude
Ton si brusque changement d'atitude
M'avais si détabilisée et si peinée
Que je me suis reveillé et crier
Ce n'était qu'un cauchemar isolé
Mais étrangement j'aur préféré y rester

L'autre jour, j'ai pu observer
La nature dans toute sa beauté
J'ai remarqué une fleur,
Une rose en forme de coeur,
Sur laque reposait une goutte de rosé
Qui étincelait de fragilité
La rose avait de minces pétales
Semblables au ailes d'un animal
Pret à pendre son envol
Et pret à quitter le sol
Elle était si jolie cette petite fleur
Que la regarder chassait les peurs
Mes yeux c'étaient fermés
Et j'avais essayé d'imaginer
Que lorsqu'un papillon ce pose
Sur cette fragile rose
Sa donne le plus beau spectable au monde
Même ne serait-ce qu'une seconde

Le jour ou la nuit
Tu ensorcelles ma vie
Tu hantes mes pensés
Tu ne fais danser
Quand je me reveille le jour
Je sais que j'ai rêvé à toi comme toujours
Tu as toujours su m'enflamer
Mon désire, tu sais le provoquer
L'envie de te toucher
De te prendre dans mes bras, t'embrasser
M'a totalement consumé
Je n'arrive plus à te resisté
Bientôt, je te sauterai dans les bras
Bientôt, je ne serai qu'à toi

On c'est connu il y a longtemps
On a vécu de beau moment
Beaucoup plus de sourrire et de rire
Que de soupire
Nous nous somme parler
Nous avons rêver
Depuis le début
Tu as mis mon âme a nu
Mon coeur je te l'ai donner
Ma peur, être rejeter
Dans tes yeux
Je vois du feu
Celui que je ressent au fond de mon coeur
Quand tu es présent a mon bonheur
J'écris simplement ce poème
Pour te prouver que je t'aime
Je suis impuissante dans tes bras
Je ferai n'importe quoi pour toi
Je fond quand tu ris
Tu occupe mon esprit
Tu m'as fait rêver
Tu m'as envoyer dans un conte de fée
Je garde toujours espoir
Que je reste a jamais dans ta mémoire
Je le dit et je le Pense
Je t'aime d'un amour intense
Peut-être que mes mots te fond peur
Mais Pense a la douleur
Que je ressent de ne pas pouvoir te serré dans mes bras
De ne pas pouvoir me coller a toi
Depuis longtemps,
Impatiament,je t'attend
Je ne veux pas te brusquer
Je ne veux pas te forcer
Je ne peux pas t'obliger
Mais si un jour tu m'As aimer
Dit le moi car je ne peux plus endurer
Que mon amour pour toi soit ignorer
Maintenant tu sais ce que je ressent
Tu connais mes sentiments
N'est pas peur de me dire
se que tu ressens même un soupire
Peut-être que j'en fais un peu trop
En écrivant ces mots
Mais je veux que tu comprenne
Que mes espérances ne seront jamais vaine
Je ne dors pas
Tellement je Pense a toi
Vien apaiser mon someil de ta présence
Que je rentre en transe
Laisse ta voix me hanter
Laisse moi rêver
Notre histoire a débuter comme un conte de fée
Alors comme sa, laisse la se terminer
Je m'offre a toi
Fait ce que tu veux de moi
Laisse moi loin de toi
Ou garde moi
Se sera ton choix
Ne le regrette pas
Pour me charmer tu a un don
Mais ne me laisse pas a l'abandon
Tu es le solei qui m'éclaire
La vie qui me regénaire
Tu es le seul dans l'univers
Qui m'emmène dans un monde imgainaire
D'un seul regard,je suis charmer
D'un seul sourire,dans tes bras je suis tomber
En une plus de poussière d'étoile
Tu a réussi a relever le voile
Tu a briser mes deffance
Tu t'Es risquer avec prudance
A aprrendre a me connaitre
Et sans le faire parretre
Tu a réussi a me séduire
Sans me faire fuir
Même dans le bruit
Tu es l'inpiration de ma vie
La lune qui élimine mes Penser
Les rires qui ne fond que me hanter

Autour de moi, tout était chaotique. Certains criaient, d'autres frappaient les murs. Je me demandais encore ce que je fesais là. J'avais peur, j'étais terrifiée. J'étais assise dans un coin, les genous contre la poitrine. C'est a ce moment qu'il est arrivé,seringue à la main. Il me regardait avec ses yeux tendres puis il a tendu sa main. Je l'ai fixeé longuement. J'hésitais, j'avais peur. J'ai fini pas lui donner ma main. Il m'a gratifié d'un sourrire puis approcher la seringue de mon avant-bras. J'ai sentis l'aiguille glacée rentrer dans ma chair. Le liquide se liberait lentement dans mes veines. Il était glacé et il me fesait frissonner. Une fois l'aiguille sortie de mon bras et qu'il soit parti, je me suis mise à trembler. Autour de moi, les gens tombaient l'un après l'autre. Soudainement, j'ai commencé à me sentir étourdie. Un atroce bourdonnement résonnait dans mes oreilles. Chaques cris poussés par les autres étaient comme des coups de marteau que l'on donnait sur ma tête. C'était atrocement douloureux. J'avais mal. J'ai mis mes mains sur mes oreilles. Des larmes ont commencé à ruisseler sur mes joues. Je serrais les dents et ma respiration était haletante. J'allais craquer, je le savais. J'ai crié. J'ais crié très fort: "Bordel de m*rde, taisez-vous!" J'avais très mal à la tête et dans la panique, je le cherchait de vue. Il était là, dans un coin loin de moi. Il contenplait tous le monde en train de sombrer. Malgrés la souffrance que j'épprouvais, j'ai pris le temps de bien le regarder. Il était si beau. C'est à ce moment que mon coeur, aussi paniquer fut-il, c'était arrêté. J'ai perdu conciance et je ne me suis plus jamais reveiller. Gardant comme dernière penser le visage de celui qui m'a tuer.